Quatre-vingt jours, plus de quatre milles six cents kilomètres, croyez-nous, nous avons vu du paysage.
Parfois c'était un peu monotone. Je n'ai rien contre l'agriculture ou les voies fluviales, au contraire, mais il faut bien avouer que lorsqu'on passe quatre jours en rase campagne, ou trois jours le long d'un canal... Et bien les variations de paysages sont minimales.
Mais souvent, les paysages rencontrés étaient époustouflant. Je ne pourrais pas tout vous raconter, d'autant plus que certains lieux étaient magnifiques aussi de par l'atmosphère qui s'en dégageait et que je ne pourrais jamais retranscrire proprement avec des mots et/ou des images.