samedi 22 décembre 2018

Petit palmarès des endroits dans lesquels envoyer des cyclistes

Quatre-vingt jours, plus de quatre milles six cents kilomètres, croyez-nous, nous avons vu du paysage.
Parfois c'était un peu monotone. Je n'ai rien contre l'agriculture ou les voies fluviales, au contraire, mais il faut bien avouer que lorsqu'on passe quatre jours en rase campagne, ou trois jours le long d'un canal... Et bien les variations de paysages sont minimales.
Mais souvent, les paysages rencontrés étaient époustouflant. Je ne pourrais pas tout vous raconter, d'autant plus que certains lieux étaient magnifiques aussi de par l'atmosphère qui s'en dégageait et que je ne pourrais jamais retranscrire proprement avec des mots et/ou des images.

mercredi 19 décembre 2018

La nourriture - Bilan et pistes d'amélioration

Nous sommes partis assez motivés, avec plein de bonnes idées (que vous pouvez trouver ici) sur la préparation de la nourriture et les recettes. C'était bien joli sur la papier mais ça ne s'est pas déroulé aussi bien que prévu, pour plusieurs raisons : 
  • La fatigue, surtout la première semaine : on arrivait très tard aux étapes et on était extrêmement fatigués, on avait donc pas la motivation de faire bien à manger pour le soir ou pour le lendemain. On était tout aussi fatigués le matin, donc pas motivés non plus pour faire le repas du midi 
  • La consommation du réchaud : on avait pas prévu que les cartouches de gaz durerait aussi peu longtemps (une semaine et demi environ lorsqu'on l'utilisait le matin pour l'eau du thé et le soir pour notre tambouille), on a donc essayé de les économiser le plus possible. On s'est même retrouvés à court de gaz au plein milieu d'une cuisson de pâtes, heureusement un voisin de camping nous a prêté son réchaud. 
  • La chaleur : on était sur les routes au plus chaud de la saison, on était assez limités pour conserver les aliments, donc adieu les sauces, le fromage, et les fruits trop fragile. Ça a bien limité les possibilités.